JULES RENARD AU MOT PRES

JULES RENARD LE VIGNERON DANS SA VIGNE Mercure de France, Paris, 1894,9X14cm, broché autographe Edition originale imprimée à petit nombre sur vergé. Signature datée manuscrite de l'auteur. Joint une coupure de presse qui a laissé une ombre sur les pages...

8 BOULEVARD DES ITALIENS Editions Sevin (Les roses) Comme beaucoup d’auteurs, Jules Renard débuta en écrivant de la poésie. Il écrivait des vers sans cesse. Il les lisait à quelques amis et les communiquait à Amélie sa sœur, (on en retrouve dans sa correspondance...

En voilà un qui s'étire et qui s'allonge comme une belle nouille

Eugène Hollande : l’Ermitage, 15 mars 1893 « M. Jules Renard est un ironiste de la grande famille. Il fait souvent penser à la Bruyère. Un effet nécessaire de cette haute origine est la qualité de son style. Ce style est de ceux auxquels le mot perfection...

Comme les femmes leurs cheveux La rivière a tordu ses ondes, Et c'est bien aussi merveilleux Qu'une tresse de leurs cheveux. Si vous aimez les boucles rondes, Les flots lourds s'enlacent entre eux. Comme les femmes leurs cheveux La rivière a tordu ses...

16 RUE DU CROISSANT L’Echo de Paris Jules Renard y collabore pour la première fois le 8 février 1891 avec un texte des Coquecigrues : « œuf de poule » Cette collaboration durera 8 ans et lui rapporte 200frs par mois. Y seront publiés des textes de La...

Adolphe Badin : La Nouvelle Revue, 1er juillet 1893 « La Lanterne Sourde » « Une série de petits croquis assez vigoureux, dans leur sobriété, mais pas toujours d’un intérêt puissant. » Alcide Guérin : La Plume, 15 juillet 1893 « La Lanterne Sourde » «...

La Lanterne sourde, Paris, Ollendorff, 1893, 137 p. En 1906 Renard réunit Coquecigrues et La Lanterne sourde en un volume de 342 p. (en rajoutant six textes à Coquecigrues et cinq à La Lanterne sourde, Guichard donne le détail, Œuvres, t. I, p. 443)....

Il se promène dès les beaux jours, mais il ne sait marcher que sur sa langue

PLAISIR DE ROMPRE